L'existence de clauses de valeur vénale dans les nouveaux contrats d'assurances se systématise.
L'assuré paie une prime d'assurances sur un coût de reconstruction à neuf sur lequel déjà il y a un sujet car souvent l'assureur tente par tous les moyens d'appliquer un taux de vétusté supérieur à la vétusté rachetée par le contrat (cela ne correspond pas à ce qui est vendu par les commerciaux en assurances !). C'est-à-dire que le client a payé une prime pour un risque mais l'assureur sait pertinemment qu'il ne paiera jamais, en cas de sinistre, le dommage maximum qu'il a estimé.
Le deuxième problème consécutif étant que l'assureur limite en plus ses paiements à la valeur vénale du bâtiment.